Poésie, Poésie pour enfant, Poésie pour la jeunesse, Textes classiques et modernes, Mémoire de la Shoah,
On a si peu de temps à s’aimer sur la terre ! Oh ! qu’il faut se hâter de dépenser son cœur ! Marceline Desbordes-Valmore Révélation, 1833. Appelez la « Marceline » La bibliothèque municipale de Douai dans le Nord porte désormais le nom de Bibliothèque...
Lire la suiteMarceline Desbordes-Valmore (1786-1859) Copie anonyme d’un original d’Hilaire Le Dru. Musée de Douai Norbert TRECA Marceline DESBORDES-VALMORE Jardins de l'église Notre Dame à Douai L’OREILLER D’UNE PETITE FILLE Cher petit oreiller, doux et chaud sous...
Lire la suiteNous avons obtenu trois indiscrétions à propos de Marceline ; nous vous les livrons telles que nous les avons reçues et en profitons pour remercier ici la confiance manifestée par leurs auteurs, qui comme chacun sait sont des habitués de ces colonnes...
Lire la suiteQu’en avez-vous fait ? Vous aviez mon coeur, Moi, j'avais le vôtre : Un coeur pour un coeur ; Bonheur pour bonheur ! Le vôtre est rendu, Je n'en ai plus d'autre, Le vôtre est rendu, Le mien est perdu ! La feuille et la fleur Et le fruit lui-même, La feuille...
Lire la suiteUn billet de femme Puisque c'est toi qui veux nouer encore Notre lien, Puisque c'est toi dont le regret m'implore, Ecoute bien : Les longs serments, rêves trempés de charmes, Ecrits et lus, Comme Dieu veut qu'ils soient payés de larmes, N'en écris plus...
Lire la suiteMarceline Desbordes-Valmore (1786-1859) est la fille d'un peintre en armoiries, devenu cabaretier à Douai après avoir été ruiné par la Révolution. À la fin de 1801, Marceline et sa mère partent pour la Guadeloupe, après un séjour à Rochefort et à Bordeaux,...
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