Poésie, Poésie pour enfant, Poésie pour la jeunesse, Textes classiques et modernes, Mémoire de la Shoah,
Voyage (pour Michel Julliard) J’en ai fait des périples Et navigué longtemps la suite est ici clic-clic
Lire la suiteSoleils transparents D'une voix à l'autre les passerelles résistent Chargés d'empreintes Allons à cette mort Où tout va Nos vies ont leurs fissures Nos vies ont leur feuillage Des soleils transparents Quand l'amour germe A neuf. Andrée Chedid Claude MONET...
Lire la suiteL’Autre « Je est un autre. » Arthur R. À force de m’écrire Je me découvre un peu Je recherche l’Autre J’aperçois au loin La femme que j’ai été Je discerne ses gestes Je glisse sur ses défauts Je pénètre à l’intérieur D’une conscience évanouie J’explore...
Lire la suite« Il est vital pour le poète de lever des échos, et de le savoir. Nul mieux que lui ne s'accorde aux solitudes ; mais aussi, nul n'a plus besoin que sa terre soit visitée » Andrée CHEDID .
Lire la suiteDe cet amour ardent je reste émerveillée Je reste émerveillée Du clapotis de l’eau Des oiseaux gazouilleurs Ces bonheurs de la terre Je reste émerveillée D’un amour Invincible Toujours présent Je reste émerveillée De cet amour Ardent Qui ne craint Ni...
Lire la suiteJe reste émerveillée Je reste émerveillée Du clapotis de l’eau Des oiseaux gazouilleurs Ces bonheurs de la terre Je reste émerveillée D’un amour Invincible Toujours présent Je reste émerveillée De cet amour Ardent Qui ne craint Ni le torrent du temps...
Lire la suite« Il est vital pour le poète de lever des échos, et de le savoir. Nul mieux que lui ne s'accorde aux solitudes ; mais aussi, nul n'a plus besoin que sa terre soit visitée. » Andrée CHEDID .
Lire la suiteNos jours sont éphémères Nos jours sont éphémères Plus rapides que le temps La clarté nous surprend Déjà c'est crépuscule C'est si court Un seul jour Mais si vaste à la fois Chaque journée est une fête Une vraie épiphanie Pleine de tous les rêves De toutes...
Lire la suiteSaisir Recueillir le grain des heures Eteindre l’étincelle Ravir un paysage Absorber l’hiver avec le rire Dissoudre les nœuds du chagrin S’imprégner d’un visage Moissonner à voix basse Flamber pour un mot tendre Embrasser la ville et ses reflux Ecouter...
Lire la suite#522 La faille Prenez garde, porteurs de cicatrices ! Eteignez dans vos chairs les volcans de la haine, Piétinez l’aiguillon et crachez le venin qui vous apparenterait un jour aux bourreaux, Etouffez ces clairons, ces sonneries qui forcent la ressemblance...
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