Poésie, Poésie pour enfant, Poésie pour la jeunesse, Textes classiques et modernes, Mémoire de la Shoah,
L'invitation au voyage Mon enfant, ma soeur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir Au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés De ces ciels brouillés Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes...
Lire la suitePréface de Le Spleen de Paris, 1869 A Arsène Houssaye Mon cher ami, je vous envoie un petit ouvrage dont on ne pourrait pas dire, sans injustice, qu'il n'a ni queue, ni tête, puisque tout, au contraire y est à la fois tête et queue, alternativement et...
Lire la suiteL'invitation au voyage Il est un pays superbe, un pays de Cocagne, dit-on, que je rêve de visiter avec une vieille amie. Pays singulier, noyé dans les brumes de notre Nord, et qu’on pourrait appeler l’Orient de l’Occident, la Chine de l’Europe, tant la...
Lire la suite- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère ! "Ah insensé qui crois que je ne suis pas toi!" Victor Hugo Préface des Contemplations, 1856 Au Lecteur La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous...
Lire la suite(...) A travers la tempête, et la neige, et le givre, C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ; C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre, Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir. (...) Charles BAUDELAIRE La mort des pauvres Les Fleurs...
Lire la suiteLe Revenant Comme les anges à œil fauve, Je reviendrai dans ton alcôve Et vers toi glisserai sans bruit Avec les ombres de la nuit ; Et je te donnerai, ma brune, Des baisers froids comme la lune Et des caresses de serpent Autour d'une fosse rampant. Quand...
Lire la suiteLes bons chiens (…) Arrière la muse académique ! Je n'ai que faire de cette vieille bégueule. J'invoque la muse familière, la citadine, la vivante, pour qu'elle m'aide à chanter les bons chiens, les pauvres chiens, les chiens crottés, ceux-là que chacun...
Lire la suitePour Axel Poème déjà publié le 20 décembre 2010. L’Horloge. Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit: "Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une...
Lire la suite8 mars 2012 Journée internationale de la Femme Baudelaire, Chagrins d'enfance, VII Extrait (...)Plus d’une fois il a remercié la Providence pour ce privilège incomparable, non seulement d’avoir été élevé à la campagne et dans la solitude, « mais encore...
Lire la suiteTout a été dit, tout a été écrit sur ce poème, considéré à juste titre comme l'un des plus grands de Baudelaire. Tout reste donc à dire, tout reste à écrire... Le Cygne A VICTOR HUGO I Andromaque, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir...
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