Poésie, Poésie pour enfant, Poésie pour la jeunesse, Textes classiques et modernes, Mémoire de la Shoah,
Le dernier des madrigaux Permettez Madame C'est grand liberté Que je le proclame Vous atteignez à la beauté Ce n'est pas peu dire Ce n'est pas pour rire C'est même exactement Pour pleurer Votre manière agaçante De manier l'éventail Vos airs de reine ou...
Lire la suiteJorge Semprun l’a toujours affirmé : « Je ne suis pas un survivant […] je ne parlerai jamais comme quelqu’un qui a survécu à la mort de ses camarades. Je ne suis qu’un vivant, c’est tout ! » Chanson pour oublier Dachau Nul ne réveillera cette nuit les...
Lire la suiteLes mains d'Elsa Donne-moi tes mains pour l'inquiétude Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude Donne-moi te mains que je sois sauvé Lorsque je les prends à mon pauvre piège De paume et de peur de hâte et d'émoi Lorsque...
Lire la suiteLa Constellation Aucun mot n'est trop grand trop fou quand c'est pour elle Je lui songe une robe en nuages filés lire la suite ici clic-clic
Lire la suiteIl y a des choses que je ne dis à Personne Alors Il y a des choses que je ne dis à Personne Alors Elles ne font de mal à personne Mais Le malheur c’est Que moi Le malheur le malheur c’est Que moi ces choses je les sais Il y a des choses qui me rongent...
Lire la suiteImage toile « La lecture d'un roman jette sur la vie une lumière. » Louis Aragon Blanche ou l'oubli
Lire la suiteLe dernier des madrigaux Permettez Madame C'est grand liberté Que je le proclame Vous atteignez à la beauté Ce n'est pas peu dire Ce n'est pas pour rire C'est même exactement Pour pleurer Votre manière agaçante De manier l'éventail Vos airs de reine ou...
Lire la suiteEst-ce ainsi que les hommes vivent Tout est affaire de décor Changer de lit changer de corps À quoi bon puisque c'est encore Moi qui moi-même me trahis Moi qui me traîne et m'éparpille Et mon ombre se déshabille Dans les bras semblables des filles Où...
Lire la suiteIl n'aurait fallu Il n'aurait fallu Qu'un moment de plus Pour que la mort vienne Mais une main nue Alors est venue Qui a pris la mienne Qui donc a rendu Leurs couleurs perdues Aux jours aux semaines Sa réalité A l'immensité Des choses humaines Moi qui...
Lire la suiteLouis Aragon, dans une manifestation du P.C.F le 3 octobre 1971 à Paris. ©Photo Bloncourt. Que la vie en vaut la peine C'est une chose étrange à la fin que le monde Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit Ces moments de bonheur ces midis... la suite...
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