Poésie, Poésie pour enfant, Poésie pour la jeunesse, Textes classiques et modernes, Mémoire de la Shoah,
#525
LES PIGEONS
Les paroles de Lucie, c’était comme un lâcher de pigeons.
De pigeons blancs. Je les regardais monter dans le bleu du ciel ;
la lumière jouait sur leurs plumes.
Par trois, par six, par dix, ils tournaient,
ils filaient dans toutes les directions.
Et ces mouvements d’ailes ! ?
Alors, vous ne répondez pas ? dit-elle.
Moi, j’admirais, j’étais charmé.
Comment ? il fallait écouter aussi ! Et répondre.
NORGE
Les femmes sont compliquées. L.A.