Poésie, Poésie pour enfant, Poésie pour la jeunesse, Textes classiques et modernes, Mémoire de la Shoah,
Léonor FINI a réalisé l’illustration des Fleurs du mal, dont ce tableau pour le poème A une passante. A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse...
Lire la suiteDans son beau et touchant poème Les passantes, Antoine POL n’utilise pas d'images fulgurantes, pas de métaphores, pas de mots insolites, pas de combinaisons particulières, pas de mots inattendus, pas de structure originale. Pourtant il touche en plein...
Lire la suiteEntrée en matière. CYRANO de BERGERAC. ACTE I - scène IV - Le Vicomte, méprisant. Poète ! ... Cyrano Oui, monsieur, poète ! Et tellement, Qu’en ferraillant je vais -hop ! - à l' improvisade, Vous composer une ballade. Le Vicomte Une ballade ? Cyrano Vous...
Lire la suiteDimanche Charlotte fait de la compote Bertrand suce des harengs Cunégonde se teint en blonde Epaminondas cire ses godasses Thérèse souffle sur la braise Léon peint des potirons Brigitte s'agite, s'agite Adhémar dit qu'il en a marre La pendule fabrique...
Lire la suiteLaurent Fabius, Florentin sans emploi Publié le 2 septembre 2010 Les temps que nous vivons sont cruels. Ils favorisent les seconds rôles replets ou les énervés revanchards. Vous avez aimé Nicolas ? Vous adorerez DSK. Ce dernier, plus éloigné qu’absent,...
Lire la suite«Moïse étendit sa main sur la mer, et l'Éternel fit reculer la mer, toute la nuit par un vent d'est impétueux, et il mit la mer à sec, et les eaux furent divisées. Les enfants d'Israël entrèrent au milieu de la mer, dans son lit desséché, les eaux se...
Lire la suiteExtrait d’un entretien d’ Ernest-Pignon Ernest (déjà évoqué ici) au Nouvel Observateur « Spécial Rimbaud » . 4-10 AVRIL 1991 « Bien sûr, j'ai toujours su, en même temps, qu'il était impossible de faire vraiment un portrait de Rimbaud. Imaginez un Rimbaud...
Lire la suiteIllustration : William TURNER . « Staffa, la grotte de Fingal » -1832 - Bien sûr, il y a Celan, Carême, Obaldia, Queneau. Et puis, il y a Racine, Rostand, Verlaine et Rimbaud...Et Desnos, Eluard et Prévert et … Mais Baudelaire ! En six mois, pas même...
Lire la suiteL'enfant A quoi jouait-il cet enfant ? Personne n'en sut jamais rien. On le laissait seul dans un coin Avec un peu de sable blanc. On remarquait bien, certains jours, Qu'il arquait les bras, tels des ailes Et qu'il regardait loin, très loin, Comme du...
Lire la suiteNotre école Notre école se trouve au ciel. Nous nous asseyons près des anges Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacées à l'orange. Les assiettes...
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