Robert Charlebois. Blues funèbre.

Pour une Lyre, s'il advient qu'elle passe sur notre nuage... 

Comments

[Nuageneuf]

 


Oui, ce n'est pas rien Charlebois, chère Célestine. 40 ans de carrière emplis de pépites malheureusement
introuvables sur deezer et autres serveurs. Je reste certain qu'un passionné quelque part sur la planète se prendra à les enregistrer, pour peu qu'il dispose du talent et du matériel, et les
disposera sur Utube.

[Celestine]

Recevoir en plein coeur une chanson mortellement belle, une chanson de fin, une chanson coupante, une chanson piquante, écouter en laissant monter les larmes cette musique lancinante servie par
une voix chaude et sublime, et découvrir les mots qui relièrent d'autres mots...


Funeste, ineffable!

[Nuageneuf]

Cher Joël, 


"sembler aimer Charlebois" est un euphémisme. Si nous l'osions, nous nous qualifierions bien de grands fous dingues du grand Robert ! Sa discographie, ses 40 années de
carrière recèlent des trésors : La samba des canards, le Ritz, les Joe Finger Ledoux -"faut pas qu'ça dérange le monde qui mange", le piano noir, l'indépendant
triste ... et bien d' d'autres encore. Merci beaucoup pour votre délicate attention. 

[Joël H.]

Puisque vous semblez apprécier Charlebois, une de la grande époque (même si la vidéo n'est pas si ancienne : un peu plus de ventre Robert ...).


Amicalement


http://www.dailymotion.com/video/xce4un_charlebois-le-mur-du-son_music


 

[lyre]

Lyre est toujours là, silencieuse mais fidèle, fidèle plus que vous ne sauriez l'imaginer. Chaque jour, elle vous suit, vous regarde cheminer vers des ailleurs, des retours.
Moins utile, elle est néanmoins toujourslà, silencieuse et fidèle, à la lisière de vous.

[nuageneuf]

Ah! Lyre est là ! Nous ne nous trompions pas beaucoup en évaluant à trois mois son absence. Après vérification, son dernier commentaire remonte au 27 septembre. Soit trois mois et un jour
! 


 


Votre fidélité nous touche en plein coeur tout autant que votre délicatesse à l'exprimer. Un grand et confiant merci, chère Lyre ! Et surtout, ne vous adonnez plus au silence, si long
silence, vos avis et votre présence nous sont par trop précieux.